L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) a mis en garde mercredi 11 février les patients contre les risques d’allergies sévères après avoir constaté une augmentation des cas d’urticaire et de troubles hémorragiques chez les personnes traitées par l’anxiolytique anafranil 75 mg. Ces allergies, observées principalement chez les patients âgés de plus de 60 ans, se manifestent par des signes cutanés (démangeaisons, éruptions, rougeurs, œdèmes), des réactions gastro-intestinales (diarrhées, nausées, vomissements), des manifestations respiratoires (essoufflements, toux), hépatiques ou hématologiques (anémies hémolytiques). Elles peuvent être associées à une baisse des plaquettes sanguines et une baisse des globules blancs et provoquent fréquemment des réactions allergiques sévères. Les personnes allergiques aux médicaments de la famille des antidépresseurs imipraminiques, comme l’anxiolytique anafranil 75 mg, doivent être informées qu’elles présentent un risque d’allergie pouvant être grave et requérir un traitement médical d’urgence et une surveillance médicale particulière.
L’ANSM rappelle aux professionnels de santé l’importance de leur rappeler systématiquement les patients traités par ce médicament qu’ils ont à leur disposition une collaboration spécifique avec les médecins et infirmiers référents dans le traitement des situations d’urgence, notamment pour la mise en place du traitement le plus adapté.
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L’ANSM rappelle que les antidépresseurs ISRS, comme le citalopram, la fluoxétine et la paroxétine, sont fréquemment associés à un risque d’allergies graves. L’ANSM rappelle par ailleurs que le citalopram, la fluoxétine et la paroxétine ont un risque d’allergies graves (œdème de Quincke et urticaire).
La survenue de ces allergies graves doit faire l’objet d’une information particulière et spécifique au patient des risques d’allergie et de leur prise en charge par un allergologue et/ou un médecin de ville ou un service d’urgence.
L’ANSM rappelle que les benzodiazépines sont souvent associées à des effets indésirables graves pouvant être fatals pour certaines personnes.
L’ANSM rappelle par ailleurs que les benzodiazépines peuvent avoir un effet anxiolytique qui peut être majoré en cas de survenue de troubles du sommeil (insomnies, réveils nocturnes).
Si une prise d’anxiolytiques par jour est nécessaire, la surveillance clinique et biologique du patient est à réaliser par un médecin.
Les patients qui utilisent des benzodiazépines doivent être informés que ce médicament peut entraîner une sensation de vertige, une baisse des performances physiques et intellectuelles, des troubles du sommeil, des troubles de l’équilibre, une aggravation des troubles du comportement et des convulsions et qu’ils doivent consulter leur médecin en cas de survenue de tels effets indésirables graves.
L’ANSM rappelle que les somnifères, comme l’olanzapine ou la quétiapine, peuvent être associés à des effets indésirables graves pouvant être fatals pour certaines personnes.
L’ANSM rappelle également que le traitement des troubles du sommeil par un hypnotique sédatif (olanzapine, quétiapine ou zopiclone) doit faire l’objet d’une surveillance clinique et biologique régulière.
Les patients qui utilisent des somnifères doivent être informés que ce médicament peut entraîner une somnolence qui peut être responsable de somnolence diurne, de confusion, de convulsions, d’insomnie, de somnambulisme, de cauchemars, de mouvements anormaux et d’une augmentation de la pression artérielle et du rythme cardiaque. Ces symptômes nécessitent une surveillance clinique et biologique du patient et nécessitent parfois une prise en charge en urgence.
L’ANSM rappelle que les antidépresseurs sérotoninergiques, comme la bupropion ou la paroxétine, peuvent être associés à des effets indésirables graves pouvant être fatals pour certaines personnes.
L’ANSM rappelle également que le traitement des troubles du sommeil par un antidépresseur sérotoninergique doit faire l’objet d’une surveillance clinique et biologique régulière.
Les patients qui utilisent ces antidépresseurs doivent être informés des risques d’allergie, qui peuvent être graves, et des risques de troubles du comportement (agressivité, impulsivité, troubles du comportement, etc.).
Si une prise d’antidépresseurs est nécessaire, la surveillance clinique et biologique du patient est à réaliser par un médecin.
L’ANSM rappelle que les antidépresseurs tricycliques (amitriptyline, nortriptyline ou imipramine) peuvent être associés à des effets indésirables graves pouvant être fatals pour certaines personnes.
L’ANSM rappelle également que les antidépresseurs tricycliques peuvent entraîner une somnolence qui peut être responsable de somnolence diurne, de confusion, de convulsions, d’insomnie, de somnambulisme, de cauchemars, de mouvements anormaux et d’une augmentation de la pression artérielle et du rythme cardiaque.
Les patients qui utilisent des antidépresseurs tricycliques doivent être informés des risques d’allergie, qui peuvent être graves, et des risques de troubles du comportement (agressivité, impulsivité, troubles du comportement, etc.).
L’ANSM rappelle que les antipsychotiques de première génération comme le lurasidone ou l’aripiprazole peuvent être associés à des effets indésirables graves pouvant être fatals pour certaines personnes.
L’ANSM rappelle également que les antipsychotiques de première génération peuvent entraîner une somnolence qui peut être responsable de somnolence diurne, de confusion, de convulsions, d’insomnie, de somnambulisme, de cauchemars, de mouvements anormaux et d’une augmentation de la pression artérielle et du rythme cardiaque.
Si une prise d’antipsychotique est nécessaire, la surveillance clinique et biologique du patient est à réaliser par un médecin.
Les patients qui utilisent des antipsychotiques de première génération doivent être informés des risques d’allergie, qui peuvent être graves, et des risques de troubles du comportement (agressivité, impulsivité, troubles du comportement, etc.).
L’ANSM rappelle que les antipsychotiques de deuxième génération comme la clozapine ou la chlorpromazine peuvent être associés à des effets indésirables graves pouvant être fatals pour certaines personnes.
L’ANSM rappelle également que les antipsychotiques de deuxième génération peuvent entraîner une somnolence qui peut être responsable de somnolence diurne, de confusion, de convulsions, d’insomnie, de somnambulisme, de cauchemars, de mouvements anormaux et d’une augmentation de la pression artérielle et du rythme cardiaque.
Les patients qui utilisent des antipsychotiques de deuxième génération doivent être informés des risques d’allergie, qui peuvent être graves, et des risques de troubles du comportement (agressivité, impulsivité, troubles du comportement, etc.).